Lundi 5 mars 2012 Marche nordique

Le jour s’est levé dans la grisaille avec un ciel bas, le mauvais temps semblait installé pour la journée.
Mais dans la matinée, le vent s’est mis au Nord et a chassé la pluie.
Ce n’est pas le grand beau temps, il fait frais, mais la marche nordique peut se faire.

Le rendez-vous est à l’anneau de vitesse de Grenoble où se passe donc l’échauffement, bien nécessaire pour se mettre en route avec le vent glacial.

De là, le groupe se dirige vers la Bastille au travers de l’Ile Verte.
Des bancs, placés sur notre chemin, sont prétexte à exercice. Il y a des pompes et un autre exercice pour faire travailler les bras et les cuisses. Après ça, il fait chaud !

Reprise du chemin vers la Bastille, d’un bon pas, mais il faut bien s’arrêter au feu pour laisser passer les voitures. La traversée de l’Isère sur le nouveau pont permet d’admirer le reflet du soleil sur l’eau et la belle perspective, en amont comme en aval.

Et voici le début du chemin de la Bastille, ça grimpe. Le groupe fait quelques virages et s’arrête. L’exercice prévu consiste à redescendre tranquillement jusqu’au virage du bas et, au top de la coach, de refaire la montée sur un bon rythme, en étant chronométré.
 L’exercice sera répété plusieurs fois et le rythme de montée augmenté à chaque fois.

Ouf ! dur, dur ! Enfin, le stop final retentit. Les Ascopiens remettent les vestes, les sacs à dos après une petite pause pour reprendre le souffle et boire un coup.

Les voici sur le chemin du retour, il faut retourner à l’anneau de vitesse, la distance est parcourue d’un bon pas malgré la fatigue qui se fait sentir. La coach n’oublie pas les étirements qui permettront de ne pas avoir trop de courbatures.

Vendredi 2 mars 2012

La température est printanière, les Ascopiens forment un bon groupe pour aller à Mont Saint Martin.
Après avoir noté que le thermomètre du Fontanil-Cornillon affiche 23°, les marcheurs attaquent cette randonnée par une forte montée, sous la voute dénudée des arbres.

Le ruisseau longe le chemin, alimenté par la fonte de la neige que nous trouvons rapidement.
Chacun monte à son rythme,car il est difficile de forcer l’allure dans la montée.
Le groupe se reforme à La Combe, point culminant situé à 920 mètre d’altitude.

Le chant des oiseaux qui fêtent déjà le printemps enchante les oreilles.
Mais les portions boueuses du chemin obligent à prêter attention à l’endroit où l’on pose ses pieds, ce qui n’empêchent pas de salir les chaussures.

Et voici le moment attendu, le parc des daims.
Certains sont venus avec du pain sec.
Les animaux sont habitués, dès que des visiteurs se présentent, un petit groupe vient au grillage quémander et c’est un plaisir de les voir apprécier le pain.
La mâle dominant, comme il se doit, se taille la meilleur place en chassant les animaux autour de lui.
Il faut dire qu’il est magnifique.

Le pré voisin, au soleil, accueille les marcheurs pour une pause prolongée, pause appréciée tant le soleil et la chaleur ont manqué cet hiver.
Il faut pourtant redescendre dans la nappe de pollution visible sur Grenoble.
Petit détour par la ferme, mais il n’y a personne et le groupe se dirige donc vers les voitures.

Encore une bonne journée qui a fait du bien à tous.

Mardi 28 février 2012

Du soleil, du ciel bleu, de la douceur, les oiseaux qui chantent.
Que demander de plus ?

C’est donc un bon groupe qui participe à la randonnée de ce mardi.
Le Président a choisi Rochefort ce mardi pour permettre à l’un des Ascopiens, fatigué et essoufflé, de participer.
Hélas ! Il ne s’est pas senti assez bien et n’a pas pu en profiter. Les Ascopiens lui souhaitent bon courage.

Comme toujours, sur ce sentier quasiment plat, le groupe s’étire et chacun peut choisir son rythme, dicté parfois par le souffle, parfois par le bavardage. Mais chacun apprécie la marche et la compagnie.

Le Drac a encore modifié son lit, les bancs de gravier sont coupés, ont changé de place. Le travail de l’eau est impressionnant ! Des travaux sont entrepris sur les iles du lit du Drac mais sans que quelqu’un dans le groupe puisse dire quels sont les projets.
Cependant, de nouveaux panneaux ont été posés pour informer sur le site, d’autres sont en cours de pose, il y a donc du changement dans l’air.
A voir à la prochaine visite !

La Greysse quand à elle charrie encore beaucoup d’eau et offre de magnifiques reflets au soleil.

Dans les prés, la doucette sauvage commence à pousser, surveillée par les cueilleuses impatientes de ramasser une salade.

Les hellébores fétides offrent leurs fleurs qu’il faut regarder de près pour en admirer la beauté car elles gardent modestement leur tête baissée.

Le paysage, estompé par la brume, offre cependant sa variété aux regards. Les sommets sont toujours enneigés, les montagnes plus basses forment de belles silhouettes, le vieux château d’eau de Pont de Claix, toujours en attente de rénovation, est visible de loin, marquant depuis longtemps l’arrivée dans l’agglomération grenobloise.

Après la pause rituelle, les Ascopiens prennent le chemin du retour pour arriver au parking avant que la température ne soit devenue fraiche.

 

A voir article sur Rochefort dans Les Echos des Randos

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