Mardi 24 mai Le Peuil

C’est à la tourbière du Peuil que se rendent les Ascopiens pour la sortie du jour.
Sur le site de la Ville de Claix, nous pouvons lire :

Située au pied des falaises du Vercors à 970 mètres d’altitude, la tourbière du Peuil est l’une des rares zones humides du massif ainsi que l’une des dernières tourbières  d’altitude à sphaigne en Isère. Elle fait partie des 11  espaces naturels sensibles (ENS) du Conseil Général de l’Isère qui en est propriétaire et en assure la gestion.

On peut y observer plus de 200 espèces de fleurs différentes : grande astrance, trolle d’Europe, linaigrette, et drosera (plante insectivore)…
La faune n’est pas en reste avec notamment le bouvreuil pivoine, la grenouille agile, le triton palmé, la libellule déprimée…
Cet été, des visites de la tourbière sont organisées avec des guides-nature les mercredis et dimanches matins uniquement, sur réservation. L’inscription est obligatoire en mairie au 04 76 98 45 92.

Sur isère.fr  ( Les espaces naturels sensibles)

La tourbière du Peuil se trouve à 1000 mètres d’altitude dans le Vercors, en surplomb de la ville de Claix. Site unique et original, la tourbière du Peuil est une des rares zones humides du Vercors car la nature calcaire de ce massif montagneux ne favorise généralement pas ce type de milieu.

Flore : 9 espèces patrimoniales (Ail anguleux, Orchis de Traunsteiner, Drosera à feuilles rondes, Jonc aplati, Grassette à grandes fleurs…)

Faune : 4 espèces d’oiseaux (Pic noir, Pie-grièche écorcheur, Faucon pèlerin ,Faucon crécerelle) 10 espèces de mammifères (Martre, Ecureuil roux, Chamois…) 3 espèces d’amphibiens (Triton palmé, Crapaud commun, Grenouille rousse) 2 espèces de reptiles (Lézard vert, Couleuvre à collier) 3 espèces d’odonates (Leste dryade, Leste fiancé, Sympetrum à ailes jaunes)

Habitats : 10 habitats patrimoniaux (forêt de bouleaux, tourbière boisée, buttes de sphaigne brunes, Hêtraies, tourbière basse à Laîche de davalle….)


C’est un site enchanteur.
Après avoir longé la tourbière, les marcheurs suivent le chemin forestier, bien mouillé par endroit. Dans le sous-bois, le muguet est fleuri, peut-être y a-t-il des champignons.

Un empilement de troncs offre l’opportunité d’une pause pour un goûter. L’humidité ambiante fait rapidement ressentir le froid et les marcheurs se remettent en route pour boucler le tour.

A la prochaine !

 

 

Vendredi 20 mai 2016 Vif

Pour la belle journée qui s’annonce, les Ascopiens se rendent à la gare de Vif où les voitures sont parquées.

Il faut ensuite suivre la route un peu et prendre la première route à droite qui emmène vers les hameaux de Chabotte et Les Rossinants.
La route est goudronnée mais il n’y a presque pas de circulation.

Le départ est assez pentu et le groupe s’étire car chacun adopte son rythme, fait les pauses qui lui sont nécessaires.

De belles perspectives s’ouvrent entre les arbres, permettant de découvrir un des plus beaux endroits du Drac, avec son eau émeraude, la petite ile, la roseraie, les langues de terre, … C’est là aussi qu l’on peut voir des castors.

En face, Saint Georges de Commiers s’étale sur le flanc de la montagne.

Continuant sur la route qui sinue parmi les arbres, les marcheurs découvrent le barrage de Vif.
Ils traverse Chabotte, Les Rossinants et finalement trouvent un endroit pour s’installer car il commence à faire faim.

La pause est appréciée, c’est sûr ! Le groupe prend son temps puis il faut songer au retour.
Les nombreuses marguerites sur les bords de chemin ont donné envie à certaines de faire un bouquet.

A la prochaine !

Mardi 17 mai 2016

Après une semaine de mauvais temps, la journée printanière de ce mardi est la bienvenue.

La pollution est annoncée plus à l’est, c’est donc dans les bois des Vouillands que la marche du jour s’effectue.

Chacun se sentant suffisamment en forme, les Ascopiens se rendent à la ferme Froussard.
Le long chemin de montée est un peu rude pour certains mais, en faisant les pauses nécessaires, tous se regroupent sur les murets de la ferme pour une pause goûter appréciée.

Le retour par la direction du désert de l’Écureuil offre encore quelques montées, surtout la dernière, courte mais rude alors que les marcheurs sont fatigués.

A la prochaine !

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