Mardi 31 juillet St Hilaire

C’est par un mardi encore caniculaire que nous entamons cette marche principalement ombragée.
Pour pouvoir profiter de la fraîcheur des montagnes, nous avons avancé l’heure de départ du mardi à 12h30.
Les ascopiens du mardi en sont ravis, car d’une part cela évite d’annuler les marches pour cause de canicule; et d’autre part et surtout, ça leur permet de découvrir de nouveaux horizons !
A poursuivre au-delà de l’été ? La question se pose.

Mais revenons à St Hilaire, nous avons commencé par descendre à la cascade des…   ,le nom m’échappe , je n’avais pas prévu de joindre un texte aux photos !
La descente est raide et parfois glissante, mais quel rafraîchissement !!
Certains en profitent pour se mouiller puis nous remontons pour retrouver Jean, Claudine et Michel, ces deux derniers s’étant évertué à retrouver Jean qui avait opté de lui-même pour un chemin différent, sans en avertir le groupe.

L’adrénaline est montée chez Claudine qui a eu très peur ; nous en profitons donc pour refaire un point sur le règlement spécifique marche que chacun a signé en adhérant, et de fait s’est engagé à le suivre…
Ce moment de recadrement passé, nous reprenons la marche pour rejoindre les crêtes, en empruntant un petit chemin forestier bien agréable !

Après plusieurs pauses, dont une longue auprès d’un gros arbre, nous arrivons aux voitures et rejoignons le café près du funiculaire où le traditionnel pot convivial est fortement apprécié !

photos et textes de Joëlle

Mardi 17 juillet au Charmant Som Bis

 
C’est vers 14h30 que les ascopiens, garés juste après l’oratoire, prennent la direction du Charmant Som menés par Claudine.
Arrivés à l’auberge, Joëlle décide de stopper là la balade, sa névralgie cervico-brachiale prenant le dessus sur son envie de marcher.
C’est donc 5 ascopiens qui entreprennent l’ascension de ce joli sommet qui offre un superbe paysage à l’arrivée, paysage à 360°.
Par ce beau temps on entrevoit même le Mont Blanc !Après un cours pique nique ils redescendent  à l’auberge pour déguster qui une glace, qui un fromage blanc aux myrtilles, qui  une boisson rafraîchissante.
Les discussions vont bon train,  et l’ambiance est détendue et joyeuse.
Malgré un souci de timing au niveau de la balade, ce fut une balade fort agréable et savoureuse pour les yeux.
Joëlle

Vendredi 20 juillet Boucle autour du refuge des Narces

Boucle autour du refuge des Narces (1300 m)
 
 
     Du parking des Magasins Géant, à Fontaine, sept marcheurs de l’ASCOP, répartis dans deux voitures, se mettent en route ce 20 juillet pour le village de Méaudre, via Lans-en-Vercors et le col de la Croix-Perrin (1218 m). Puis ils se dirigent vers le refuge des Narces (1300 m) où a lieu le départ de la randonnée. Il s’agit de Jacqueline, Simone, Michel, Jean, Jean-Michel, et des deux conductrices, Claudine et Joëlle.
 
     Le soleil brûlant du matin a fait place à un ciel couvert et, à 1300 mètres d’altitude, la température est idéale. On se sent bien, on respire mieux. A travers une fraîche forêt et en suivant une piste confortable, le groupe se dirige tout d’abord vers La Cote (1474 m), puis aborde à main gauche une pente raide (16%) en direction du lieu-dit « Le Gros Martel », tout en haut, sur la crête. Les muscles et le souffle sont fortement sollicités, et les marcheurs effectuent une montée en zigzags, technique simple et efficace qui facilite l’ascension. Arrêt pique-nique peu avant Le Gros Martel (1556 m) et rencontre avec deux randonneuses chevronnées (et leur chien) qui nous disent être parties d’Autrans. Il faut dire, à notre décharge, qu’elles ont l’avantage d’être jeunes et… en meilleure santé que nous.
 
     Peu après Le Gros Martel (1556 m), à dix minutes de notre halte pique-nique, nous bifurquons sur la droite face à une descente très pentue (là aussi il y a bien 16% d’inclinaison) et très impressionnante, vue du haut. Nos guides rappellent aux marcheurs négligents (dont je suis) qu’il convient en montagne d’éviter les chaussures basses, soutenant mal la cheville, et de ne pas omettre de prendre les bâtons. OK, on enregistre. La descente se déroule bien néanmoins. Nous retrouvons bientôt un relief moins vertigineux et la piste du matin qui nous ramène à La Cote (1474 m) et que nous délaissons, à partir d’ici, pour prendre un sentier herbu, sur la gauche, conduisant au Champ des Narces (1380 m), puis au refuge des Narces (1300 m) où nous retrouvons les voitures.
 
     L’endroit faisant office de café-restaurant, nous pouvons prendre sur place les traditionnelles consommations. Nous ne nous pressons pas, puisqu’une inscription sur la façade du refuge rappelle aux citadins que nous sommes :  » En ville, vous avez l’heure, au refuge, on a le temps. »
 
     En conclusion, une agréable boucle effectuée dans des conditions météo idéales, sur une distance de 6 km et un dénivelé positif de 256 m.
 
Jean Michel
Attente photos

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