Mardi 16 avril 2013

Une vraie chaleur estivale, pour ce mardi. Quel changement !

Les bras et les jambes se mettent à nu, il faut attraper un maximum de soleil quand il est là.

Pour tenir compte des difficultés des uns, des interdictions médicales des autres, les circuits qui s’offrent au plus près sont en nombre restreints. Mais au fil du temps, le nature évolue, offrant à chaque passage un visage différent.

En partant du nouvel espace aménagé à l’entrée du Désert Jean Jacques Rousseau, le groupe fait le tour, passant par le tir aux pigeons et remontant vers le Pré Faure, pré qui offre des bancs et des tables pour la pause. C’est un moment apprécié où les langues vont bon train, où les rires fusent dans l’ambiance estivale retrouvée.

Tout au long du parcours, des parterres de violettes, des parterres de pervenches de diverses couleurs, de nombreuses touffes de pulmonaires, des coucous, etc., font le bonheur des cueilleuses, qui pour un joli bouquet, qui pour le séchage en prévision des futures tisanes.

Que du bonheur ! La pause se prolonge un peu, chacun veut en profiter au maximum. Retour quand même, il faut bien rentrer. Les Ascopiens ont l’occasion de rencontrer de nombreux autres marcheurs, le parking s’est bien rempli en leur absence car l’endroit est renommé, à juste titre.