Le temps s’est amélioré et a incité les Ascopiens à enfiler les chaussures de marche. En partant du parking, ils rejoignent le Désert Jean Jacques Rousseau en passant les belles portes de l’entrée. Las ! à peine passées les portes, les Ascopiens affrontent un vent assez fort et surtout très froid. Ce vent n’incite pas …