Mardi 26 mars 2013

Le temps s’est amélioré et a incité les Ascopiens à enfiler les chaussures de marche.

En partant du parking, ils rejoignent le  Désert Jean Jacques Rousseau en passant les belles portes de l’entrée. Las ! à peine passées les portes, les Ascopiens affrontent un vent assez fort et surtout très froid. Ce vent n’incite pas à la flânerie mais il faut tout de même souligner que de nouveaux panneaux ont fait leur apparition. Malgré les détériorations constatées parfois, l’entretien et la signalisation sont bien assurés.

Plus loin, c’est un sapin de belle taille qui montre ses racines, il n’a pas supporté la répétition de vents violents de cet hiver. Quel dommage !  Et voila un lézard qui prend le soleil, tout endormi encore, et permet ainsi à chacun de l’admirer.

Au niveau du Pré Faure, une petite pause goûter permet de se regrouper. Ici le vent ne se fait pas sentir, l’ambiance est agréable.

Ensuite, retour au parking pour retourner dans la plaine.

Lundi 25 mars 2013

Voila enfin la possibilité de redémarrer la marche nordique !

Certes, le temps est gris mais il ne pleut pas, il ne fait pas froid, alors c’est un grand progrès.

Le groupe reprend le rythme en longeant l’Isère pour aller jusqu’au campus, et revenir par la piscine.

Si la technique est toujours là, la vitesse n’est pas trop grande, il faut se remettre à l’entrainement. Cependant, le tour est bouclé sans difficulté et avec un grand plaisir pour tous.

Le lundi suivant étant le lundi de Pâques, pas de séance.

Vendredi 22 mars 2013

En ce vendredi printanier, les Ascopiens prennent la direction du Mont Rolland avec le but avoué de ramasser des jonquilles.

C’est devenu une tradition et tous y prennent  plaisir.  Le chemin démarre doucement puis la pente s’accentue. Ensuite le chemin est un peu encombré de broussailles, ce qui n’empêche pas le groupe de passer.

L’arrêt forcé de l’hiver a miné la condition physique des Ascopiens et la montée, assez ardue, ne se fait pas sans plusieurs arrêts. Au final,  auprès du relais ( TV et sûrement d’autres choses….), le pré s’offre pour une pause.

Certains posent les sacs et partent ramasser les jonquilles, d’autres s’installent pour un moment au soleil. Un goûter apporté par les uns et les autres redonne des forces. Le retour des amis avec un beau bouquet incite d’autres à retourner dans les bois.

Le soleil est chaud, il fait bon se prélasser dans l’herbe et les Ascopiens font durer le moment. Il faut bien finir par s’en retourner, après avoir apprécié ces moments délectables.

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