Aujourd’hui nous avons innové pour la tourbière du Peuil, en partant de Savoyères.
C’est à sept, accompagnés de Bella que nous avons pris la route forestière qui mène de Savoyères au Peuil.
Arrivés au Peuil et après avoir pris le petit sentier au sein de l’espace protégé, àtravers des prairies qui furent bucoliques, nous nous arrêtons pour observer les deux tourbières.
« Située au pied des falaises du Vercors à 970 mètres d’altitude, la tourbière du Peuil est l’une des rares zones humides du massif ainsi que l’une des dernières tourbières d’altitude à sphaigne en Isère. Elle fait partie des 11 espaces naturels sensibles (ENS) du Conseil général de l’Isère qui en est propriétaire et en assure la gestion.
On peut y observer plus de 200 espèces de fleurs différentes : grande astrance, trolle d’Europe, linaigrette, et drosera (plante insectivore)…
La faune n’est pas en reste avec notamment le bouvreuil pivoine, la grenouille agile, le triton palmé, la libellule déprimée… »
On peut y observer plus de 200 espèces de fleurs différentes : grande astrance, trolle d’Europe, linaigrette, et drosera (plante insectivore)…
La faune n’est pas en reste avec notamment le bouvreuil pivoine, la grenouille agile, le triton palmé, la libellule déprimée… »
En revenant par les bois,(bien loin de déprimer quant à nous !) c’est sur des troncs d’arbres humides que nous savourons une pause « biscuits à volonté », thé glacé et pamplemousse en quartiers, agrémentée de quelques moustiques pour certains !
Quel bonheur de retrouver cette fraîcheur après la canicule que nous avons eu la semaine dernière !
Nous poursuivons donc à travers bois, sur un sentier qui nous semble être du velours : un terrain moelleux recouvert d’aiguille de sapin.
Nous arrivons aux voitures aux alentours de 17h, ravis de cette balade à l’unanimité et prêts à se retrouver vendredi pour faire le gîte de la Molière depuis les Aigaux.
215m de dénivelé sur 8 km environs
Joëlle